Pourquoi ?... C'est un peu comme l'interdiction de pêcher en mouche noyée.
Ce sont certes des modes de pêche très meurtriers, mais à condition de les
pratiquer parfaitement, ce qui n'est pas facile du tout.
Car, s'il est facile de prendre une truite à la surprise en pêchant au ver,
il n'en va pas de même lorsqu'on pêche au vif. Et la pêche " à la beuse "
n'est rien d'autre, en fait, qu'une pêche à la surprise au vif, valables dans
tous les torrents à truite, par eaux basses et claires.
Les
vifs se conservent mieux dans un petit bocal empli à moitié d'eau que dans
un bidon.
Ils se récupèrent mieux aussi. |
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Pas de
montages savants et compliqués. Il s'agit simplement de clouer les lèvres du
vairon avec un hameçon N°9 attaché à même le nylon qui garnit le moulinet
(18 centième en général). | |
Les
truites se cachent sous les berges, sous les buissons |
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sous les pierres.
C'est donc là qu'il faut les rechercher. | |
Tant que le vairon nage au-delà d'une certaine limite, la truite ne bouge pas. Mais
dès qu'il passe dans un secteur défini et très proche, la truite attaque et saisit
le vairon par le travers. | |
Une fraction de seconde plus tard elle l'a retourné et avalé.
C'est là qu'il faut ferrer. |
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Et brider immédiatement le poisson pour l'empêcher de regagner son trou... |
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...Dont il faut l'éloigner impérativement sous risque de la voir se
caler et casser le fil. |